Tous les conseils dont tu as besoin pour bien commencer dans la vie professionnelle !
Enfants, l’usage de la langue se développe par le mimétisme, sans le conscientiser. On boit les paroles et on les retransmets, bien que maladroitement au début. On acquiert des sons, du vocabulaire, puis on maîtrise la syntaxe, l’agencement des mots. Progressivement les choses s’affinent. A l’école, on fait tout l’inverse. On apprend comment parler avant même d’essayer.
C’est bien connu, la petite enfance est la période optimale pour apprendre une seconde langue. Mais à l’adolescence ou, pire, à l’âge adulte, c’est bien plus tortueux. On semble sclérosé dans notre propre langue, incapable de sortir de nos cadres. On dit souvent, “il ne faut pas faire du mot à mot” ou “il ne faut pas réfléchir en français”. C’est bien beau mais est-ce réellement possible ? Comment faire pour s’exprimer si on nous enlève tous nos repères ? On nous apprend qu’il y a une non correspondance entre les temps ; qu’on utilise un temps qui s’appelle ‘present perfect’ pour ‘le passé composé’ mais que ce dernier peut également, selon le contexte, être traduit par le ‘past simple’ (bien distinct du passé simple, sinon ca ne serait pas drôle). Et que "How long have you been living here" ne veut pas dire "combien long as-tu été vivant ici" mais "depuis quand habites-tu ici". Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?
Alors, comment fait-on pour apprendre en tant qu’adulte ? Y a-t-il une méthode magique ?
Aujourd’hui, on a tout à portée de main. En ligne, on trouve une multitude de ressources. Chacun peut choisir la forme qui lui convient. Il y a ceux qui se passionnent pour les séries américaines et regardent leurs épisodes préférés en anglais, avec ou sans sous-titres. Ceux qui sont addicts aux applis sur leur téléphone et doivent emmagasiner un maximum de vocabulaire pour passer au niveau suivant. Ceux qui sont plus avant-gardistes et qui conversent avec une intelligence artificielle. Rien n’est exclu. Le but du jeu, trouver LA méthode la plus efficace pour devenir ‘fluent” au plus vite.
La pratique d’une langue comprend 4 dimensions, la compréhension et l’expression orales et écrites. Dans mon parcours en tant que formatrice en anglais, je constate que ceux qui se dévouent à une méthode uniquement se retrouvent limités. Oui, tu peux apprendre des expressions par cœur mais si tu ne sais pas construire des phrases par toi-même tu risques vite d’être bloqué. Si tu écoutes à longueur de journée des conversations en anglais, certes tu comprendras mieux, mais il n’est pas dit que tu puisses t’exprimer. La grammaire, oui, mais pas que. Si elle est dissociée de l’expression, elle ne nous servira à rien. Ce qu’il faut c’est trouver un équilibre et un pont entre ces différentes dimensions par la mise en pratique.
La formation au passage du TOEIC ne déroge pas à cette règle. Il faut multiplier les sources d’apprentissage et les faire converger. Les activités durant la formation sont nombreuses et la conversation est centrale. Il ne faut pas croire que, comme l’expression ne fait pas partie intégrante de l’examen, elle n’est pas utile à l’obtention de celui-ci. Bien au contraire ! C’est la mise en pratique, prioritairement par l’oral, qui nous fera gagner en spontanéité et ainsi, se rapprocher de l’instinct d’un natif.
Le TOEIC, c’est un peu une course contre la montre. On n’a malheureusement pas le temps de se poser des milliards de questions et de ressasser ses réponses. Il faut trouver cet équilibre entre spontanéité et réflexion.
Au collège, ma prof d’anglais m’avait dit : pour les QCM il faut toujours aller avec sa première réponse, à l’instinct. Je suis d’accord en partie mais s’il nous manque les bases, peut-on vraiment s’y fier ? Les créateurs des tests du TOEIC sont filous. Ils savent que sous pression, on peut se perdre dans notre raisonnement et questionner notre instinct. Leur objectif est de révéler si nos bases sont solides, en nous envoyant des petites tentations. Pour ce faire, ils raffolent des pièges et procèdent par suggestions. En bref, ils aiment flouter les pistes !
C'est donc primordiale avant de passer le TOEIC de se préparer à l'examen.
C’est là que j'interviens. Voici mes objectifs : Le 1er, vous permet de gagner en autonomie dans l’apprentissage avec une approche basée sur le mimétisme. Le 2e, vous donne les codes de la langue anglaise et vous incite à les utiliser dans le concret. Le 3e, vous apprend les codes du TOEIC, pour rester fermes sur vos appuis lorsque les pièges se présenteront à vous. Vous serez alors des français bien anglicisés.
Et si tu allais encore plus loin en découvrant notre formation 100% dédiée à la préparation à l'examen du TOEIC ?
Chez StaffMe Academy, nous avons pris l’habitude d’écouter ce que les jeunes entrepreneurs nous confient pour développer nos formations. Sans grande surprise, la maitrise de l’anglais semble plus que jamais indispensable pour les 18-30 ans. Pour autant, affirmer que l’on sait s’exprimer dans la langue de Shakespeare est une chose, le prouver grâce à une certification en est une autre. L’examen du TOEIC® permet donc de situer rapidement, de manière claire et précise le niveau d’anglais de chacun. La note obtenue est très appréciée sur un CV lorsque l’on recherche du travail mais également lorsque l’on se développe en tant qu’entrepreneur.